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mes image (31/08 14:53)
Je viens ici pour l'amitié tout simplement et surtout pas pour la guerre des blogs. Non plus pour des imbéciles qui te font croire qui sont des amis sincères et sans pudeur te salissent derrière ton dos comme certains. J'ai construis un blog pour l'amitié sincère et durable pour les bons et les mauvais moments de la vie de chacun et sans hypocrisie. Je suis là tout simplement pour aimer et être aimée…Mon amitié est sincère. Je suis une femme qui n'aime pas les guerres sur les blogs ni les embrouille et je ne veux pas que l'on m'en procure. Ceux qui viennent pour poser des problèmes sans les avertir je les exclu de mon univers sans détour et sans pitié. Je voudrai aussi éviter les chaines, sauf évidemment les articles à faire suivre pour les malades. °*°*Ce sont mes amis qui m'ont fait aimer la vie. Ils me rendent meilleur à mesure que je les trouve meilleurs eux-mêmes... °*°* Amour...Amitié…Fraternité…Partage Merci à vous et bonne visite, merci de votre compréhension, Barbara…

SI TU ES UNE VRAIE AMIE TU PEUX FAIRE CELA: UNE PERSONNE HANDICAPEE N'EST PAS CONTAGIEUSE ELLE DEMANDE JUSTE QU'ON L'ACCEPTE TELLE QU'ELLE EST DANS LA SOCIETE. 97%DES PERSONNES NE COPIERONT PAS CETTE ANNONCE ET NE L'UTILISERONT PAS COMME STATUT, SERAS TU COMME MOI L'UNE DES 3% A AFFICHER CE STATUT AU MOINS PENDANT 1HEURE SUR TON BLOG OU SUR TON PROFIL
Samira et Barbara amies pour la vie...











































































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Chère papa Noël.....
17/12/2006 09:56
Chère papa Noël
Aimer_la_vie
Je m’appelle Barbara

Et j’aime la vie
Pour cette année j’aimerais
Que la paix vient enfin sur terre
Qu’il y a plus de enfants maltraite
Qu’il y a plus de faim dans ce monde
Qu'il y a plus tous ces animaux maltraite
Que nous sommes tous de frères et sœurs
Qu’il y a plus des femmes battu et piétinée
Qu’il y a plus de guerres ni au nom des religions
Qu’il y a plus de haine ni jalousie dans ce monde
Qu’il y a plus de guerres ni au nom de la politique
Que la joie et la bon humeur rendre dans chaque maison
Voila ce que je voudrais pour ce noël
Merci
père
noël

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Le Rossignol Et L'empreur de Chine!!!....Conte D'Andersen
09/12/2006 21:40
Le Rossignol Et L'empreur de Chine!!!
Conte D'Andersen
Vous savez qu'en Chine l'empereur est un Chinois et tous ceux qui l'entourent sont Chinois. Il y a de longues années, (et justement parce qu'il y a longtemps) je veux vous conter cette histoire avant qu'on ne l'oublie.
Le palais de l'empereur était le plus beau du monde, entièrement construit en fine porcelaine - il fallait même faire très attention. Dans le jardin poussaient des fleurs merveilleuses, aux plus belles d'entre elles on accrochait une clochette d'argent qui tintait à la moindre brise afin qu'on ne puisse passer devant elles sans les admirer. Oui, le jardin était si vaste que le jardinier lui-même n'en connaissait pas la fin. Si on marchait très, très longtemps on arrivait à une forêt avec des arbres superbes et des lacs profonds. Cette forêt descendait jusqu'à la mer bleue et dans les branches de ses arbres vivait un rossignol dont le chant merveilleux charmait jusqu'au plus pauvre des pêcheurs.
Quoiqu'ils eussent bien d'autres soucis, ils restaient silencieux à l'écouter et s'écriaient, quand le chant était fini: Dieu que c'est beau! De tous les pays du monde, les voyageurs venaient admirer la ville de l'empereur, le château, le jardin, mais quand on les menait entendre le rossignol, tous s'écriaient : " ça, c'est encore ce qu'il y a de mieux"
"Les voyageurs, rentrés chez eux, en parlaient et les érudits écrivaient des livres sur la ville, le château et le jardin, sans oublier le rossignol qu'ils mettaient au-dessus de tout. Ces livres faisaient le tour du monde et quelques uns arrivèrent un jour jusque chez l'empereur de Chine. Assis sur son trône doré, il les lisait et les relisait et, de la tête, il approuvait les descriptions prestigieuses de la ville, du château, du jardin " Mais le rossignol est quand même ce qu'il y a de mieux " lisait-il. Qu'est-ce que c'est que ça? dit l'empereur, le rossignol! Je ne le connais même pas. Y a-t-il un oiseau pareil dans mon empire et, par-dessus le marché, dans mon jardin! Et je n'en ai jamais entendu parler, et il faut que j'apprenne ça dans un livre! Il fit venir son chancelier d'honneur, un homme si distingué que si quelqu'un d'un rang inférieur à lui-même osait lui parler, il répondait "P.p.p." ce qui ne veut rien dire du tout. - Il paraît qu'il y a ici un oiseau xtraordinaire qui s'appelle rossignol, lui dit l'empereur. On prétend que c'est ce qu'il y a de mieux dans mon empire ! Pourquoi ne m'en a-t-on jamais rien dit ? - Je n'en ai jamais entendu parler, dit le chancelier, il n'a jamais été présenté à la cour. - Je veux qu'il vienne chanter pour moi ici ce soir. Toute la terre est au courant de ce que je possède et moi, non!
- Je ne sais rien de lui, dit le chancelier, mais je le chercherai. Je le trouverai. Mais où le trouver? Le chancelier courut en haut et en bas des escaliers, à travers les salons, le long des couloirs, personne parmi ceux qu'il rencontrait n'avait entendu parler du rossignol. La moitié de la cour le suivait en s'enquérant du merveilleux rossignol! Enfin, ils trouvèrent dans les cuisines une petite fille pauvre : - Oh! Dieu, dit-elle, le rossignol, je le connais, il chante si bien! J'ai la permission d'apporter chaque soir à ma mère malade quelques restes de la table. Elle habite au bord de la mer et quand je reviens, je suis fatiguée, je me repose dans la forêt et j'écoute le rossignol. Les larmes me viennent aux yeux, c'est doux comme un baiser de ma mère. - Petite fille de cuisine, dit le chancelier, tu auras un ngagement et le droit de regarder l'empereur manger, si tu nous conduis auprès du rossignol, car il est convoqué ce soir. Alors ils partirent vers la forêt où le rossignol avait l'habitude de chanter. Ils marchèrent longtemps et soudain, le rossignol se mit à chanter : - C'est lui! Ecoutez, écoutez... et le voilà, dit la fillette, en montrant du doigt un petit oiseau gris dans le feuillage. - Pas possible? dit le chancelier. Comme il a l'air ordinaire, il a dû perdre ses couleurs de frayeur en voyant tant de hautes personnalités chez lui.
Petit rossignol! cria la fillette, notre empereur voudrait que tu chantes pour lui. - Mon excellent petit rossignol, lui dit le chancelier, j'ai le grand honneur de vous inviter pour ce soir à une fête à la cour où vous charmerez Sa Majesté Impériale. - Avec le plus grand plaisir, répondit le rossignol. On fit de grands préparatifs au château. Au milieu de la grande salle où était assis l'empereur, on avait installé un perchoir d'or sur lequel le rossignol devait se tenir. Toute la cour était présente et la petite fille avait eu la permission de rester derrière la porte. Tous portaient leurs habits de cérémonie et ils regardaient le petit oiseau gris auquel l'empereur souriait. Le rossignol chanta si merveilleusement que les larmes coulaient sur les joues de l'empereur. Il était ravi et voulait que le rossignol reçût la grande décoration de la pantoufle d'or. Le petit oiseau remercia très poliment : - J'ai vu des larmes dans les yeux de mon empereur, c'est mon plus riche trésor. Et il chanta encore une fois de sa douce voix. Même les laquais déclarèrent qu'ils étaient contents! Et ils sont bien les plus difficiles à satisfaire. Ah! oui, le rossignol avait du succès! Dorénavant, il resta à la cour, dans sa cage avec permission de sortir deux fois le jour et une fois la nuit, mais douze domestiques devaient tenir chacun un fil de soie...attaché à sa patte, et il n'y a aucun plaisir à se promener dans ces conditions. Toute la ville parlait de l'oiseau miraculeux! Quand deux personnes se rencontraient l'une disait " rossi.." et l'autre " gnol ", elles soupiraient et elles s'étaient comprises. Onze enfants de charcutiers portèrent même le prénom de Rossignol, quoiqu'ils n'eussent point le plus petit filet de voix.
Un jour arriva à la cour un paquet sur lequel était écrit " rossignol". Dans ce paquet était une boîte qui contenait un rossignol mécanique qui aurait pu ressembler à l'autre, mais qui était incrusté sur tout le corps de diamants, de rubis et de saphirs. Dès que l'on remontait l'automate, il chantait comme l'oiseau véritable, sa queue battait la mesure et étincelait d'or et d'argent. C'était un cadeau de l'empereur du Japon. On voulu faire chanter les deux oiseaux ensemble, mais ça n'allait pas très bien. Le véritable rossignol roucoulait à sa façon et l'autre chantait des valses. - Ce n'est pas de sa faute, dit le maître de musique, il a quand même beaucoup de rythme. L'automate chanta donc seul. Il connut la gloire d'autant plus qu'il était beaucoup plus joli à regarder, il étincelait comme un bracelet ou une broche. Trente trois fois il chanta le même air sans être fatigué. Les gens l'auraient bien écouté encore mais l'empereur estima que c'était au tour du véritable rossignol.
Où était-il donc passé? Personne n'avait remarqué qu'il s'était envolé par la fenêtre ouverte, bien loin, vers sa verte forêt. - Qu'est-ce que c'est que ça? dit 'empereur, et tous les courtisans, unanimes blâmèrent le rossignol et le jugèrent extrêmement ingrat. - Le plus bel oiseau nous reste, pensait chacun... Et l'automate chanta encore. - Voyez-vous Grand empereur et vous messeigneurs, avec le vrai rossignol on ne sait jamais d'avance ce qui va venir, tandis qu'avec l'autre tout est prévu. C'est comme ça et pas autrement. On peut l'ouvrir, l'expliquer, savoir où sont les valses et comment l'une suit l'autre, dit le maître de musique. - C'est tout à fait ce que je pense, disait chacun des courtisans. Le vrai rossignol fut banni du pays et de l'empire.
Un an passa. L'empereur, la cour et tous les Chinois savaient par coeur chaque valse du rossignol mécanique. Mais un soir... L'automate chantait, l'empereur était dans son lit et l'écoutait. Tout à coup, à l'intérieur de l'oiseau, il se fit un " couac ", quelque chose sauta " brrrrr "... et la musique s'arrêta! L'empereur sauta du lit et appela son médecin, mais qu'y pouvait-il? Alors on fit venir l'horloger. Après bien des examens il réussit à réparer tant bien que mal la mécanique mais il prévint qu'il fallait beaucoup la ménager car les pivots étaient usés et il n'était pas capable de les remplacer. Quelle déception ! L'oiseau mécanique ne chanta plus qu'une fois par an. Cinq ans passèrent et tout le pays eut un grand chagrin. L'empereur était très malade au point de ne pas survivre, disait-on, et un nouvel empereur était élu. Cependant, l'empereur n'était pas encore mort. Immobile dans son lit, le pauvre monarque ne pouvait presque plus respirer. Il lui semblait avoir un poids énorme sur la poitrine. Il ouvrit les yeux et vit que c'était la Mort qui était assise, là.
Elle avait mis sa grande couronne d'or et tenait d'une main son sabre d'or, de l'autre son splendide drapeau. Tout autour d'elle, des têtes étranges perçaient, les unes hideuses, les autres gracieuses et aimables. C'étaient les mauvaises et les bonnes actions de l'empereur qui le regardaient alors que la Mort était assise sur son coeur. - Te souviens-tu de cela? murmuraient-elles. Te souviens-tu de ceci, encore? - Je n'ai jamais rien su de tout cela, cria l'empereur. Musique! Musique! Petit oiseau précieux, chante! Chante! Je t'ai donné de l'or et des bijoux, je t'ai donné ma pantoufle d'or. Chante! Chante! Mais l'oiseau restait silencieux, personne n'était là pour le remonter et donc, il ne pouvait chanter. La Mort regardait le moribond et tout était silencieux.
Effroyablement silencieux. Alors s'éleva soudain près de la fenêtre un chant doux et délicieux, c'était le petit rossignol vivant, assis dans la verdure, audehors. Il avait entendu parler de la détresse de son empereur et il venait lui chanter consolation et espoir. Tandis qu'il chantait, les sinistres apparitions s'estompaient, le sang circulait de plus en plus vite dans les membres affaiblis du mourant et la Mort, ellemême, écoutait et disait : " Continue petit rossignol, continue." - Oui, mais donne-moi ce beau sabre d'or, ce riche drapeau, donne-moi la couronne. Et la Mort donna chaque joyau pour un chant. Alors le rossignol chanta le cimetière paisible où poussent les roses blanches, où le sureau embaume. La Mort eut la nostalgie de son jardin et se dissipa comme un froid brouillard blanc par la fenêtre. - Merci, merci, dit l'empereur, petit oiseau du ciel, je te reconnais. Je t'ai chassé de mon empire et cependant, tu as repoussé de mon lit mes péchés et la Mort de mon coeur! Comment te récompenser ? - Tu m'as déjà récompensé, dit l'oiseau. J'ai vu des larmes dans tes yeux. Elles sont le vrai bijou pour le coeur d'un chanteur. Dors maintenant, je vais chanter pour toi. Quand l'empereur se réveilla, ses serviteurs étaient là dans sa chambre, pour voir leur roi mort, et lui leur dit simplement :
" Bonjour ! "

Conte D'Andersen
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LA PETITE FILLE AUX ALLUMETTES
06/12/2006 13:27
LA PETITE FILLE AUX ALLUMETTES
Conte d'Andersen

Il faisait effroyablement froid; il neigeait depuis le matin; il faisait déjà sombre; le soir approchait, le soir du dernier jour de l'année. Au milieu des rafales, par ce froid glacial, une pauvre petite fille marchait dans la rue: elle n'avait rien sur la tête, elle était pieds nus. Lorsqu'elle était sortie de chez elle le matin, elle avait eu de vieilles pantoufles beaucoup trop grandes pour elle. Aussi les perdit-elle lorsqu'elle eut à se sauver devant une file de voitures; les voitures passées, elle chercha après ses chaussures; un méchant gamin s'enfuyait emportant en riant l'une des pantoufles; l'autre avait été entièrement écrasée.
 Voilà la malheureuse enfant n'ayant plus rien pour abriter ses pauvres petits petons. Dans son vieux tablier, elle portait des allumettes: elle en tenait à la main un paquet. Mais, ce jour, la veille du nouvel an, tout le monde était affairé; par cet affreux temps, personne ne s'arrêtait pour considérer l'air suppliant de la petite qui faisait pitié. La journée finissait, et elle n'avait pas encore vendu un seul paquet d'allumettes. Tremblante de froid et de faim, elle se traînait de rue en rue.
 Des flocons de neige couvraient sa longue chevelure blonde. De toutes les fenêtres brillaient des lumières: de presque toutes les maisons sortait une délicieuse odeur, celle de l'oie, qu'on rôtissait pour le festin du soir: c'était la Saint-Sylvestre. Cela, oui, cela lui faisait arrêter ses pas errants.
 Enfin, après avoir une dernière fois offert en vain son paquet d'allumettes, l'enfant aperçoit une encoignure entre deux maisons, dont l'une dépassait un peu l'autre. Harassée, elle s'y assied et s'y blottit, tirant à elle ses petits pieds: mais elle grelotte et frissonne encore plus qu'avant et cependant elle n'ose rentrer chez elle. Elle n'y rapporterait pas la plus petite monnaie, et son père la battrait. L'enfant avait ses petites menottes toutes transies. «Si je prenais une allumette, se dit-elle, une seule pour réchauffer mes doigts? » C'est ce qu'elle fit. Quelle flamme merveilleuse c'était! Il sembla tout à coup à la petite fille qu'elle se trouvait devant un grand poêle en fonte, décoré d'ornements en cuivre. La petite allait étendre ses pieds pour les réchauffer, lorsque la petite flamme s'éteignit brusquement: le poêle disparut, et l'enfant restait là, tenant en main un petit morceau de bois à moitié brûlé.
 Elle frotta une seconde allumette: la lueur se projetait sur la muraille qui devint transparente. Derrière, la table était mise: elle était couverte d'une belle nappe blanche, sur laquelle brillait une superbe vaisselle de porcelaine. Au milieu, s'étalait une magnifique oie rôtie, entourée de compote de pommes: et voilà que la bête se met en mouvement et, avec un couteau et une fourchette fixés dans sa poitrine, vient se présenter devant la pauvre petite. Et puis plus rien: la flamme s'éteint.
 L'enfant prend une troisième allumette, et elle se voit transportée près d'un arbre de Noël, splendide. Sur ses branches vertes, brillaient mille bougies de couleurs: de tous côtés, pendait une foule de merveilles. La petite étendit la main pour saisir la moins belle: l'allumette s'éteint. L'arbre semble monter vers le ciel et ses bougies deviennent des étoiles: il y en a une qui se détache et qui redescend vers la terre, laissant une trainée de feu. «Voilà quelqu'un qui va mourir » se dit la petite. Sa vieille grand-mère, le seul être qui l'avait aimée et chérie, et qui était morte il n'y avait pas longtemps, lui avait dit que lorsqu'on voit une étoile qui file, d'un autre côté une âme monte vers le paradis. Elle frotta encore une allumette: une grande clarté se répandit et, devant l'enfant, se tenait la vieille grand-mère.
 - Grand-mère, s'écria la petite, grand-mère, emmène-moi. Oh! tu vas me quitter quand l'allumette sera éteinte: tu t'évanouiras comme le poêle si chaud, le superbe rôti d'oie, le splendide arbre de Noël. Reste, je te prie, ou emporte-moi.
 Et l'enfant alluma une nouvelle allumette, et puis une autre, et enfin tout le paquet, pour voir la bonne grand-mère le plus longtemps possible. La grand-mère prit la petite dans ses bras et elle la porta bien haut, en un lieu où il n'y avait plus ni de froid, ni de faim, ni de chagrin: c'était devant le trône de Dieu. Le lendemain matin, cependant, les passants trouvèrent dans l'encoignure le corps de la petite ; ses joues étaient rouges, elle semblait sourire ; elle était morte de froid, pendant la nuit qui avait apporté à tant d'autres des joies et des plaisirs. Elle tenait dans sa petite main, toute raidie, les restes brûlés d'un paquet d'allumettes.
 - Quelle sottise ! dit un sans-coeur. Comment a-t-elle pu croire que cela la réchaufferait ? D'autres versèrent des larmes sur l'enfant; c'est qu'ils ne savaient pas toutes les belles choses qu'elle avait vues pendant la nuit du nouvel an, c'est qu'ils ignoraient que, si elle avait bien souffert, elle goûtait maintenant dans les bras de sa grand-mère la plus douce félicité.

Conte d'Andersen
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Petit Papa Noël...
06/12/2006 00:33

Petit Papa Noël

C'est la belle nuit de Noël La neige étend son manteau blanc Et les yeux levés vers le ciel, A genoux, les petits enfants, Avant de fermer les paupières, Font une dernière prière.
 {Refrain:}
Petit Papa Noël Quand tu descendras du ciel Avec des jouets par milliers N'oublie pas mon petit soulier
 Mais, avant de partir, Il faudra bien te couvrir Dehors tu vas avoir si froid C'est un peu à cause de moi
 Il me tarde tant que le jour se lève Pour voir si tu m'as apporté Tous les beaux joujoux que je vois en rêve Et que je t'ai commandés
 {Refrain}
Le marchand de sable est passé Les enfants vont faire dodo Et tu vas pouvoir commencer Avec ta hotte sur le dos Au son des cloches des églises Ta distribution de surprises

Et quand tu seras sur ton beau nuage Viens d'abord sur notre maison Je n'ai pas été tous les jours très sage Mais j'en demande pardon
 {Refrain} Petit Papa Noël...

Je vous souhaite bonne fête …

Amicalement
Barbara
&
Samira
Amies pour la vie




hoder Samira et Barbara Amies pour toujours
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